frederic Tomé

Frédéric Tomé alias “ASROTH” est né au début de 1978 à Reims, la même année que la diffusion de Goldorak à la télévision.
Bien plus tard, l’influence des robots géants et autres univers SF en passant par les Chevaliers du Zodiaque vont influencer son style et beaucoup l’inspirer par les couleurs et les univers pop qui s’en dégage.
Très vite, il rentrera en F12 Arts Appliqués et orientera sa carrière vers le design produit-packaging puis il sera graphiste et longtemps en agence corporate et travaillera aussi bien dans l’univers des spiritueux que des entreprises de services.
Ce fut en 1995 qu’il découvre le jeu vidéo par la Sega Saturn de son frère et ses premiers titres en 3D et là, il continuera sa passion comme collectionneur-passionné.
Ce fut grâce à un appel d’offre qu’il travaillera pour Activision en réalisant des dossiers de presse, ce fut le déclic à vouloir travailler pour ce média qui le fascine tant.

Puis il rencontre les équipes de pix’n love à Japan Expo et six mois plus tard, il est joint pour réaliser en freelance un livre officiel consacré au héros de jeux vidéo Rayman d’Ubisoft.
Tout s’enchaine très vite et il travaillera pour un autre éditeur Third Editions à la réalisation de couverture ou de bloc titres pour les livres : de Silent Hill à Legend of Zelda, ou encore Kingdom Hearts en passant par Cowboy bebop).
Il décidera aussi de s’investir pour une Association Lilloise OrdiRetro et créera l’identité graphique RETRO VERS LE FUTUR qui sera exposé à Paris Games WEEK mais également un poster géant de 6mx3M pour l’animateur de Gameone Marcus.

En Aout 2017, il participera à un concours international de poster organisé par Ubisoft pour son jeu phare Assassin’s Creed, il arrivera à la troisième place et sera même exposé à La GamesCom à Cologne.
Quelques mois plus tard, à la Paris Games week en 2017, il découvrira le collectif ARTtitude et ses fresques monumentales : ce fût un autre déclic et le début pour approfondir ses posters fanart.
Un an plus tard, il entrait dans le collectif.

Ce qu’il adore, c’est le live-drawing, le dessin de “dédicace” face aux gens comme un trapéziste sans filet et faire virevolter ses feutres à alcool et passant par les feutres gouaches.
Il n’a pas peur de se salir les doigts comme un fil d’Ariane et ses débuts en F12 ou l’outil informatique n’était pas au programme, mais plutôt des formats raisins à noircir.